Les Vétérans de la culture au Liban et au Monde arabe

Témoignage à titre honorifique au Dr. Georges Gerdak

Mercredi, 17 mars 2010

Le Dr. Asmahane Eid à dirigé cette séance dédiée au poète et célèbre écrivain M. Georges Gerdak et commença par expliquer qu'il appartient à une famille qui a élevé des hommes de lettre et des poètes de génération en génération. Ensuite, elle décrit le M. Gerdak de poète romantique qui a écrit les plus beaux poèmes qui ont été chantes par les plus belles voix. Aussi est-il un  journaliste brillant qui a écrit de nombreux articles pour la presse libanaise et Arabe. Eid ajouta que l'on trouve dans la personnalité de notre vétéran l'esprit du poète, du musicien, du peintre et du philosophe. Ses différentes œuvres littéraires ont été traduites en plusieurs langues, voire l'anglais, le français, l'allemand, l'espagnol et le perse. Elle conclu enfin sa parole en félicitant Gerdak et en lui souhaitant de longues années de santé et de bonheur.



Témoignage à titre honorifique au Dr. Georges Gerdak

 Puis, Maître Georges Kassab prit la parole et décrit en premier lieu le style exceptionnel du Dr. Gerdak que l'on trouve dans toutes ses œuvres qui nous font toujours voyager loin de la réalité amère. Kassab mentionna ensuite quelques concepts spirituels qu'il a emprunté de l'évangile afin d'expliquer la vie de notre grand vétéran. Il conclu sa parole en disant que le Dr. Gerdak est un messager de paix ainsi qu'une grande richesse pour le Liban.

 Puis, c'est M. Georges Gerdak qui parla à son tour et commença par remercier le Mouvement Culturel d'Antélias qu'il considère l'un des bons éléments à la base d'une société bien saine. Il ajouta que le Mouvement Culturel d'Antélias a toujours œuvré afin de préserver le vrai sens de la culture « au sein d'une époque dont le cœur est en fer, le sang est en pétrole, les sentiments sont fait de fumée de voitures et la conscience est occupée à réviser ses gains et ses pertes. » Il parla également de l'importance de préserver et d'enraciner les sentiments humains, ainsi que d'élargir le cercle de communication entre les citoyens libanais.

Il s'adressa enfin à ceux qui vénèrent l'argent et qui pensent que leur nation ne profite que de ses grands richards : « N'oubliez jamais que les chaines en or blessent autant que celles qui sont en fer. »   

Enfin le Secrétaire général du M.C.A le Dr. Antoine SEIF lui a remis, en commémoration, une plaque gravée emblême du M.C.A.